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rock
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Only lovers left alive: rock, romantique et noir

C’est beau, c’est sombre et c’est poétique. Il faut passer sur les lettres gothiques dégueulasses de l’affiche et se laisser embarquer par cette histoire de vampire qui n’en est pas vraiment une, et qui nous narre la difficulté de vivre en ce bas monde décadent. Du bon Jarmusch.

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70s
bon goût
cheveux

disco
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vintage

American Bluff, festival capillaire mais c’est à peu près tout

Back to the 70′s avec American Bluff. Un film qui, cependant, si on lui enlève ses excès capillaires et vestimentaires, marche dans des sillons déjà bien trop creusés. C’est propre mais finalement très classique, sans surprise. Par conséquent, décevant même si cela se regarde sans déplaisir.

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esclavage
violence

12 years a slave: (premier) grand film de l’année

Dur, cru, mais jamais voyeuriste ni manichéen, 12 years a slave n’est pas, non plus, un film militant. Il met en lumière, toujours subtilement, un passé qu’il ne faut pas occulter. Et montre, surtout, une Amérique en pleine mutation, sociale, plus que raciale. Passionnant de bout en bout.

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gérard klein
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road trip

Pourquoi je n’irai pas voir Un beau dimanche

Ami(e)s, l’apocalypse est proche. Quelqu’un, quelque part, vient d’avoir l’idée d’adapter la série L’Instit, avec Gérard Klein, au cinéma. Un autre dimanche que cela s’appelle. Et ce sera sans nous…

NYMPHOMANIAC+VOLUME+2


SM
vide

Nymphomaniac, volume 2 : pas d’idées? Filme du cul ça fera l’affaire

Il fallait bien aller au bout du sujet, après avoir vu le Volume 1… En traînant des pieds, nous sommes allés voir le Volume 2. Et, sans surprise, c’est mauvais. Moins, cependant, que le Volume 1. Ce qui n’était pas difficile, cela dit.

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amour
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japon
tristesse

Le Vent se lève? Une tempête destructrice plus qu’une brise romantique

Vous avez Ponyo en tête? Eh bien oubliez. Le vent se lève est d’une noirceur déroutante. Tellement que ce n’est pas un film pour les petits, et s’il est pour les plus grands, autant savoir qu’on en sortira avec le coeur lourd et pas avec cette si belle tendresse qu’on attache généralement à Miyazaki.

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comique
matriarcat
misandrie
raté

Au royaume de Jacky, l’ennui est roi

Vous avez adoré Les Beaux Gosses? Pas sûr, malheureusement, qu’il en aille de même avec ce Jacky au royaume des filles, décevant de bout en bout.

Deux ans pour trouver le titre!
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engagé socialement
joey starr

Pourquoi je n’irai pas voir Joey Starr dans Une autre vie

Le titre? A pleurer de rire. L’affiche? A vomir de mièvrerie. Les dialogues? A mourir d’ennui. Un film français dans toute sa triste splendeur.

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charlotte gainsbourg


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Nymphomaniac, volume 1 : attendez plutôt le volume 2

Lars Von Trier n’a rien à dire. Et il le dit en 1h50… Il n’y a rien à sauver de son Nymphomaniac, volume 1. Verbeux, faussement intello. Il n’évite aucun écueil. Et personne, à part Charlotte Gainsbourg, très peu présente dans cette première partie il faut dire, ne s’en sort convenablement.

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arnaque
biopic


vie antérieure

Pourquoi je n’irai pas voir… Yves Saint-Laurent

Yves Saint-Laurent aura droit, cette année, à deux biopics. C’est deux de trop si vous voulez tout savoir. Alors hop, ni une ni deux, je n’irai voir… aucun des deux. Non mais! Et que ce soit bien clair : le seul couturier dont j’accepterai un biopic, c’est Paco Rabanne, et personne d’autre.

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naufrage
robert redford
survie

All is lost… à commencer par ton temps!

Sacrément prometteur, All is lost déçoit. On a du mal à se laisser embarquer avec Redford, pourtant plutôt très bon. Le réalisateur, J.C. Chandor, comme il avait raté Margin Call, rate son deuxième film, qui s’avère trop superficiel pour emporter l’adhésion.

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autobiographie

comédie française
égocentrisme
fils
mère

Les garçons et Guillaume, à table… et à voir, surtout !

Ce n’est pas un chef-d’oeuvre, c’est bourré de petites imperfections, mais ça reste très joyeusement jouissif. Ce premier film de Guillaume Gallienne, tiré de son spectacle, est une belle réussite. Souvent très drôle, parfois touchant.

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folk
frères coen
mélancolie

Inside Llewyn Davis, douce et tendre ode aux losers magnifiques

Les anti-héros sont forcément des personnages intéressants. Quand ils passent sous le tamis des frères Coen, ils deviennent même attachants. Inside Llewyn Davis est une jolie, douce et mélancolique ode à tous ces losers magnifiques, purs parmi les durs, qui ne sacrifient rien à leurs idéaux.