« Là où le soleil ne se lève jamais », un peu de soleil dans ce monde de brute
Encore une fois, on ne peut que se réjouir de l’audace des éditions Rivages / Noir. Cette boîte a eu le génie de ressortir des traductions de certains romans de Scerbanenco. (A vos souhaits). Cette plume née en 1911 et disparue en 1969 est considérée comme le pape du roman noir italien (pape -> italien, vous l’avez ?).