La belle vie (pas si belle), de Matthew Stokoe
L’été n’en était encore qu’à sa première page quand trois raisons m’ont poussé à acquérir La Belle vie de Matthew Stokoe : les conseils d’un vendeur pour le côté extrêmement subversif de l’ouvrage, la découverte de la mention « âmes sensibles s’abstenir » – plutôt inhabituelle pour un roman (bouquin toujours sous blister pour éviter qu’une jeune âme ne découvre un passage grossier, j’imagine) et enfin la traduction française d’Antoine Chainas.