Savez-vous chers autochtones de l’Hexagone qu’il y a de plus en plus d’étrangers dans le monde? Oui, ça fait frémir. Des étrangers d’autres pays, d’autres cultures, avec des coutumes et des rites barbares, des façons de faire, que nous peuple civilisé, ne pouvons que réprimer.

Aujourd’hui je vais vous parler d’anti-hygiénisme. Vous allez me dire « encore » et je vais vous répondre « bah non c’est la première fois » et vous allez faire une moue dubitative et je vais vous répondre par un haussement d’épaule et avant que ça n’en vienne aux mains, je vais finir ma phrase, par ce que je sens déjà que l’ambiance est tendue.

Comme dit Red dans les Evadés « l’espoir c’est dangereux. L’espoir peut rendre un homme fou. » Et c’est visiblement ce qui vient de se passer…

Avant Freud, les humains étaient des brutes épaisses ne comprenant rien aux troubles paradoxes de la pensée, aux émois des enfants, et à la folie de nos congénères.
Après Freud, il y eut les dignes descendants (Winnicott, Adler, Klein, Freud Junior…) les batards un peu foufous mais qu’on aime bien quand même (Jung, Lacan…) et puis les machinistes, les robots de la TCC, du Pavlovisme et de la Ritaline.

La pensée collective est un puits de sagesse.
La discussion collective est une connerie sans fond.

« Il n’y a pas de bonheur médiocre ; il n’y a que des gens médiocres » disait Jean-Marie Poirier

Mes propos vous paraîtront peut-être aujourd’hui imbitables, et pourtant ils le sont.
A l’aube de l’an 2000, pour le sexe c’est plus le même deal, disait le sociologue Shen dans le superbe ouvrage « conseils aux parents pour ne pas laisser traîner leurs fils » (Shen & Starr – 1998 – Editions Nique la Pléiade)

Aujourd’hui, nous allons aborder la norme sexuelle. Définissons tout d’abord ce qui a été pendant longtemps et qui reste encore la norme étalon de nos rapports sexuels. Si vous êtes un groupe de deux humains, de sexes différents, dans le réel, …

Et si on parlait de sexe ? Sans trivialité ni grivoiserie, car ce n’est pas le genre de la maison (de tolérance). Pour que ce ne soit pas le bordel, je vais me cantonner à un aspect purement psy de la sexualité. (Oui car dans mes loisirs, je suis psychologue, mais ne le répétez pas, ma mère me croit gribouilleur pour (c)hipsters). Et, justement, c’est quoi la vision du psy sur le sexe ?

Comprendre le sens caché de tout, c’est possible!

Un peu d’amour, il en faut bien de temps en temps. Dire à l’autre qu’on l’aime, qu’il nous manque, que le monde sans lui n’est pas pareil, qu’il donne de la valeur aux choses, un sens à la vie, une destinée à nos actes, des couleurs au quotidien, de la vie au petit matin, de l’espoir dans un monde sans raison…

Il en faut peu pour être heureux!
La vie n’est pas si compliquée que ça. Je ne comprends pas trop les gens qui se plaignent ou bien qui râlent.

« Une beauté sans grâce est une beauté sans appâts. »
disait Ninon. Monsieur Grabeuz s’inscrit en faux: la beauté c’est moche. Définitivement.

Je jouis donc je suis ou comment jouir avec une tasse de thé et un cookie.

Cette dernière semaine, vous avez du surement découvrir des gens dans le métro, un peu hagards, bloquant sur la nouvelle campagne d’affichage de MANIX.

Il a flotté pour la Nuit Blanche.
Monsieur Grabeuz vous en dira tant…