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Minnie Moskowitz, ainsi va la pop

Fanny, Tara, Céline, Armelle et Guillaume préfèrent la saucisse de Ploumilliau au morteau, sont propriétaires de pas moins de 7 bébés, se lèvent le lundi parce que leur métiers et leurs enfants leur plaisent (parfois), ne sont d’accord sur rien sauf (peut-être) les hamburgers et la bière… Accessoirement, ils font aussi de la musique. De l’électro-pop pour être précis. Et répondent au nom impossible à orthographier de Minnie Moskowitz.

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cinema français

La bataille de Solférino, gagnée par un très bon Vincent Macaigne

L’idée de base est originale, consistant à mêler la petite histoire à la grande. Et si la mise en scène est très timide, Justine Triet, pour son premier film, ne s’en sort pas si mal. Avec, surtout, un très bon Vincent Macaigne, qui tient l’ensemble à lui tout seul.

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La belle vie (pas si belle), de Matthew Stokoe

L’été n’en était encore qu’à sa première page quand trois raisons m’ont poussé à acquérir La Belle vie de Matthew Stokoe : les conseils d’un vendeur pour le côté extrêmement subversif de l’ouvrage, la découverte de la mention « âmes sensibles s’abstenir » – plutôt inhabituelle pour un roman (bouquin toujours sous blister pour éviter qu’une jeune âme ne découvre un passage grossier, j’imagine) et enfin la traduction française d’Antoine Chainas.